L'ombre d'une mère Dans le silence lourd, un écho résonne, Un souffle de tendresse, une voix qui s'étonne. Chaque coin de la maison murmure son nom, Son rire précieux danse, mais reste en prison. Le matin s'éveille sans son doux regard, Un rayon de soleil semble un peu trop tard. Les fleurs dans le jardin se fanent de chagrin, Elles ont perdu l’éclat d’un amour sans fin. Elle était la chaleur d’un foyer enchanté, La main qui caresse, l’oreille attentive. Son cœur battait fort, comme un doux chant d’été, Dans chaque mot d’encouragement, elle était vive. Oh, comme ses bras savaient apaiser les peurs, Transformant les larmes en éclats de bonheur. Le monde semblait grand, mais avec elle, plus sûr, Elle tissait des rêves, elle était notre mur. Les rires d’enfance, les histoires au coin, Des souvenirs d’un temps où tout était serein. Les soirées étoilées, les secrets chuchotés, Dans le creux de ses mains, j’y trouvais ma clarté. Mais le temps ne s’arrête, et l'ombre est
Beauté et laideur : Une ode à la diversité Dans le jardin des âmes, les fleurs se dressent, Des visages variés, un tableau de tendresse. Les beaux, les laids, dans un ballet étrange, Chantent l'harmonie, une danse qui dérange. Les beaux, éclatants comme l'aube qui se lève, Illuminent le monde, comme une douce trêve. Leurs yeux, éclats d'étoiles dans un ciel infini, Portent les rêves, les espoirs de la vie. Ils avancent avec grâce, une légèreté rare, Leurs rires résonnent, comme l'écho d'un phare. Mais derrière cette beauté, une ombre se cache, Un cœur qui respire, mais parfois se fâche. Et puis, il y a les laids, au visage marqué, Aux traits rugueux, mais à l'âme dorée. Leurs sourires sincères, tels des rayons de lune, Révèlent une lumière que la beauté se brûle. Car la laideur, souvent, est un masque subtil, Un reflet du monde, de ses côtés hostiles. Elle porte les cicatrices des combats menés, Les fardeaux du cœur, les luttes à porter. Dans ce vaste tableau,